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PARASITIC FEELINGS
PARASITIC FEELINGS
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ONENA*  La vie est une lutte et ne vivent que ceux qui luttent »

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PAPA,

Je ne veux pas te dire que tu me manques, je ne veux pas te dire que 11ans après je pleures encore, je ne veux pas te dire que çà a été dur, je ne veux pas te parler de tout ce que tu as laissé, je ne veux pas te parler de tout ce que tu as manqué...

 

Je veux juste te dire merci, d'avoir été là, d'avoir été le père dont j'ai toujours rêvé, de m'avoir donnée des valeurs et de la fierté, de me donner le courage de me lever tous les jours, de porter ton nom, d'avoir ta grande geule, de m'avoir tant donné d'amour et de tendresse durant 9ans assez que pour vivre 3 vies comme la mienne, de me donner la force de soulever n'importe quoi, de me donner ce sourire car chaque journée qui passe même aussi mauvaise soit elle, je souris pour que tu le voies ou le ressentes et que tu ne penses jamais que tu as pu me rendre malheureuse, je suis heureuse grâce et pour toi...

 

*Ensemble, nous avons fait un bout de chemin, ensemble nous le continueront à travers nos pensées...

 

Parce que même si on ne sait jamais où on va, moi je sais d'où je viens...

Ma plus grande fierté, c'est d'être ta fille, celle que tu as toujours voulu avoir.

 

« Fouiller dans les carnets son grand père, se rendre compte de ce qu'il a accompli.

Enfant de la guerre évacué de Bilbao (pays basque/Espagne), famille déchirée en deux pendant la guerre de Franco.

Arrivé ici, avec un statut qui lui offrait à peine le bonjour de ses nouveaux voisins, faisant ses armes dans les mansardes de quelques belges leurs prêter.

Après une vie de rigueur et de travail pour sa partie d'accueil; il lui a été décerné deux médailles de d'honneur du travail proposées par les ministres et décernée par le roi, de reconnaissance donneur de sang, des diplômes de langue néerlandaise et un français impeccable.

Tout ça en ayant militer à coté de tes frères pour les plus démunis que toi.

Et tout çà, par la force et la rage de devenir un citoyen respectable et de protéger ta famille.

 

Moi, ta seule petite fille que tu as tellement chéri,

si il a bien une chose de toi qui résonne encore dans tout mon être, c'est celle-ci;

Je me battrais pour que ton nom résonne toujours

 

 

Merci d'avoir été un tel modèle

 

Arias E Ichazo,

plus qu'un nom, tu m'as légué un vrai don.

Je chérirais tout ça que tu m'as laissé en espérant pouvoir à mon tour les léguer à la postérité.

 

 

Si je pouvais recommencer une seule et unique chose dans ma toute vie entiere,

Je ne te laisserais plus jamais sombrer dans la solitude.

 

 

Sûrement que les excuses sont faibles par rapport a ta souffrance, je le sais bien et (j'allais marquer « dieu seul sait » mais je ne pense pas que cela est approprié si je veux te faire des excuses, haha-en langage de jeune sur l'ordinateur bobonne, ça exprime le rire^^).

Tu as été tellement pour moi bobonne, d'abord une grand mère aimante, stricte mais juste. Ensuite et pour toujours, un modèle. Un modèle de femme, une beauté sans pareille. Tu représente la force féminine et la poigne que je m'efforce d'être pour et grâce à toi.

Je me souviens, tu ne me croyais jamais quand je te disais que je parlais de toi sans cesse, que tous mes copains savent qui est ma grand mère. J'espère que maintenant que tu survoles la terre, tu peux voir que je disais vrai.

Tu me guideras toujours et je ferais toujours tout pour que tu sois fière de ta matapioros (je ne connais pas l'orthographe mais je vais chercher^^-ca en langage de jeune sur l'ordinateur c'est lever les sourcils deux fois un peu comme quand on charme quelqu'un)!

Je t'aime bobonne et j'espère pouvoir décrire un jour à mes enfants quelle matriarche et qu'elle femme tu as été pour cette famille.

J'espère que de la ou vous êtes vous pouvez moins souffrir de mon absence, j'étais jeune et je ne me suis pas rendue compte que j'allais le regretter ma vie entière.

Ta petite Céline. »

Morchon,

quel spectacle tu nous faisais jour après jour

quel bonheur de te voir a tablé et de jouir de la joie que tu procurais à tout le monde

Je me souviendrais toujours de vos débats animés nourris de quelques insultes espagnoles que je comprends maintenant!

Mais il n'y a pas que ca que je retiens de toi, « tout ce que fait bobonne, c'est bon! » tu disais toujours avant de passer à table! Ou encore de tes ronflements qu'on entendait jusque dehors quand bobonne et moi jouions au rami à la caravane!

Tes scampis au barbecue, d'ailleurs ta manière de dire barbecue et euros « EOURO « ou « barbecul » (ce qui a d'ailleurs créé une confusion la première fois que maman t'as vu elle me l'a racontée haha-j'ai déjà expliqué à bobonne ce que ca voulait dire en 2015, elle te l'expliqueras, ca l'entrainera ^^-pareil pour celui-la!)

J'ai revu Paqui la semaine passée qui m'a rappelé qu'à un nouvel an fêté ensemble durant lequel je ne faisais que danser tu ne cessais de dire « mirala! Que bella eres y que baila bien! » Il est vrai que je me souviens que dès que j'arrivais quelque part toi et bobonne disiez « voilà la plus jolie!»

Et toi, tu étais le plus joyeux !

Plus que le second mari de ma grand mère, tu es et demeureras toujours un de mes réels grands pères, au même titre que les autres!

Je t'aime et tu fais partie de moi, comme si on partageait le même sang.

Puis comme disait bobonne « il t'a torché le cul quand tu étais petite » ahhh bobonne et sa poésie.

D'ailleurs, je n'ai pas hésité une seule seconde avant d'encrer ton nom dans ma peau à coté de celui de papa, que tu aimais aussi comme un fils, bobonne et Pedro.

Tu es parti bien trop vite, je n'ai eu le temps de m'en rendre compte et tu as laissé un vide pour bobonne que je n'ai pas pris le temps de combler et je m'en veux terriblement.

La dernière fois que je t'ai vu à l'hôpital j'étais si heureuse de te voir mais tu n'as pas beaucoup réagi, surement la maladie.

Sache qu'ici tu ne laisses en souvenir que des rires et de la bonne humeur.

Je suis ta petite fille Luis, et tu es gravé dans mes tripes.

J'espère que tu as retrouvé bobonne, papa et Pedro et que vous veiller tous sur moi

mal grès les bêtises que je peux souvent faire, je sais que cela doit vous peiner, mais je n'oublie jamais l'essentiel et j'espère que vous le savez!

Attendez moi sagement car je ne comptes pas vous rejoindre tout de suite! »